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Chronique (très) libre d’une exposition de santons musiciens à Saint-Maximin.

Il vibre via patchwork zonant brindilles. Chaque courge habillant un bravache potimarron haut lard divin.

Un film de John Brahm : en tête d’affiche, un concerto pour piano de Bernard Herrmann. Une plongée musicale dans les profondeurs du psychisme.

Depuis le blanc limé à la limonade de mon adolescence, au bon vieux kir de ma jeunesse, jusqu’à la désastreuse découverte du récent mélange sauternes/Perrier, sans oublier le fameux spritz...

Le concert de Glastonbury sorti ce 30 novembre 2018 présente un David Bowie faisant la synthèse de sa carrière sans donner l’impression d’un best of, entouré par les musiciens les plus [...]

Je vous propose mes pots de confitures comme des objets à regarder. Quand je compote des fruits, je prépare du plaisir à déguster selon vos humeurs. Les couleurs, les saveurs, les formes évoluent [...]

Introspection d’une auteure transfrontalière sur le « fade ». Elle en explore les contours et le cœur dans un livre nourrit de références culturelles.

entre nos deux espaces, une seule écharpe de vent, et dans le café noir, cette si précieuse rencontre entre le calme et l'intensité.

L'échelle de Scoville, par Ta Gali. Nice, 2018.

Bienvenue à toutes et tous dans SONAR. Pour faire écho à la chronique sur l’enregistrement tout juste sorti de David Bowie Glastonbury 2000, le détecteur SONAR a fait des recherches sur le web. [...]